Le pape François est mort (1/12)
Le pape était souffrant (2/12)
Il a enchaîné les hospitalisations (3/12)
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Une période de deuil annoncée (4/12)
Dès l’annonce de la mort du pape, neuf jours de deuil sont décrétés dans l’ensemble de la cité du Vatican. “Pendant cette période, il y a beaucoup de prières et de messes organisées pour le pape“, explique François Mabille, chercheur associé à l’IRIS et directeur de l’Observatoire géopolitique du religieux, auteur du livre Le Vatican. La papauté face à un monde en crise, contacté par Actu.fr.
L’Italie en deuil (5/12)
Cette phase de recueillement, appelée “Novendiale“, puise ses origines dans une tradition de la Rome antique. L’Italie observe elle aussi un deuil national.
Son corps bientôt exposé (6/12)
Après la bénédiction, le corps du pape est exposé dans la basilique Saint-Pierre, où fidèles, dignitaires étrangers et chefs d’État peuvent lui rendre hommage, selon Politico.
Début de la période vacante (7/12)
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Cette étape marque le début de la période de sede vacante, littéralement “le siège est vacant“. Le pouvoir est alors confié temporairement au Collège des cardinaux, dans l’attente de l’élection d’un nouveau souverain pontife.
Qui va lui succéder ? (8/12)
Désigner le successeur du pape François pourrait s’avérer complexe. Selon Le Figaro, une liste de papabili circule déjà. Trois noms se détachent.
Trois candidats en tête (9/12)
Il s’agit de Pietro Parolin, secrétaire d’État du Vatican, reconnu pour sa diplomatie ; de Matteo Maria Zuppi, archevêque de Bologne, proche du mouvement Sant’Egidio ; et de Pierbattista Pizzaballa, patriarche latin de Jérusalem, considéré comme trop jeune à 58 ans.
D’autres candidats européens (10/12)
D’autres profils européens émergent, comme le Hongrois Peter Erdo, perçu comme peu charismatique, ou le Suédois Anders Arborelius, outsider potentiel.
Un Français en lice (11/12)
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Côté français, Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, apparaît à la 13e position. Âgé de 65 ans, docteur en théologie, il partage la vision du pape François sur les migrants et une Église moins centrée sur l’Europe. Son principal handicap ? Il ne parle pas italien.
Un Français annoncera le nom du prochain pape (12/12)
Et si ce n’est pas un Français qui accède au trône de Saint-Pierre, c’est peut-être un Français qui annoncera le nom du futur pape. En cas de conclave prochain, cette responsabilité reviendrait au cardinal Dominique Mamberti, doyen des électeurs. Une tradition déjà honorée en 2013, lors de l’élection du pape François.
Après la mort du pape François, le Vatican s’apprête à convoquer un conclave pour élire son successeur. Une désignation qui prendra du temps.
